Editions NJART - nelly johnson

Dimanche 20 mai 2018
16 heures
Eglise de
SAINT-CREPIN-DE-RICHEMONT

© photo Nelly Johnson

L'église romane dédiée à Saint Crépin est construite sur un piton rocheux, un immense escalier de pierres invite le public à franchir le portail mouluré donnant sur deux travées parallèles.

Intérieur de l'église Saint-Crépin
et Tyros 5 en seconde travée
© photo Nelly Johnson

Le public, peu nombreux mais très participatif a particulièrement apprécié la Pavane de Gabriel Fauré et l'une des valses de la suite de Charles Gounod qui fut applaudie avant même la fin du morceau.

Pendant l'entracte les spectateurs désirent voir en détail le fonctionnement du clavier numérique. Avec une passion communicative l'entracte, qui devait duré dix minutes, s'est prolongé durant plus d'une demie heure tant les possibilités infinies de cet instrument semblaient captiver l'auditoire.

A la fin du concert chacun a voulu partir avec le disque La Musique Classique rencontre l'Électronique et moi je range le matériel avec l'aide du maire et du président du comité des fêtes, à coup sure je reviendrai avec plaisir à Saint Crépin de Richemont.

Danses & Suites de Danses
Programme à télécharger 2Mo

BOURRÉE
Sonate Pastorale - Théodore LACK (1846-1924)

SUITE BAROQUE
Suite des Danses - Domenico ZIPOLI (1688-1726)

MENUET
Menuet BWV 114-115 - Jean-Sébastien BACH (1685-1750)

GAVOTTE
Thème et variations - Jean-François DANDRIEU (1682-1738)

VALSE LENTE
Valse de Zimmer - Jacques OFFENBACH (1819-1880)

POLKA
Polka des tambours - Louis-Antoine JULLIEN (1812-1860)

SARABANDE
Suite n° 11 - Georg-Friedrich HAENDEL (1685-1759)

SICILIENNE
Sonate XXIII - Domenico CIMAROSA (1749-1801)

TARENTELLE
Tarentelle opus 65 - Henri VAN GAEL (1860-1918)

PAVANE
Pavane opus 50 - Gabriel FAURE (1845-1924)

SUITE DE VALSES
Le Rendez-Vous - Charles GOUNOD (1818-1893)

Voici la meilleur définition issue de l'encyclopédie Diderot et d'Alembert de cette danse de Cour qui remonte à la Renaissance :
La pavane est une danse grave, venue d'Espagne, où les danseurs font la roue l'un devant l'autre, comme les paons font avec leur queue, d'où lui est venu ce nom. C'était une danse sérieuse que les gentilshommes dansaient avec la cape et l'épée ; les gens de justice avec leurs longues robes ; les princes avec leurs grands manteaux ; et les dames avec les queues de leurs robes abaissées et traînantes : on l'appelait le grand bal, parce que c'était une danse majestueuse et modeste.,,, Cette danse n'est plus en usage ; elle est trop sérieuse pour plaire à la vivacité des jeunes gens,,,,

Je vous dévoile les autres danses lors des prochains résumés de concerts !